La blague de la semaine : Si la Première Guerre mondiale était une bagarre de barSi la Première Guerre mondiale était une bagarre de bar
On septembre 22, 2021 by adminL’histoire de l’Europe peut être plutôt sombre. Mais ce genre de chose l’anime (toutes mes excuses si c’est bien connu-c’est nouveau pour moi).
L’Allemagne, l’Autriche et l’Italie se tiennent ensemble au milieu d’un pub quand la Serbie heurte l’Autriche et renverse la pinte de l’Autriche. L’Autriche demande à la Serbie de lui acheter un nouveau costume complet car il y a des éclaboussures sur la jambe de son pantalon. L’Allemagne exprime son soutien au point de vue de l’Autriche. La Grande-Bretagne recommande à tout le monde de se calmer un peu.
La Serbie fait remarquer qu’elle ne peut pas s’offrir un costume complet, mais propose de payer le nettoyage du pantalon de l’Autriche. La Russie et la Serbie regardent l’Autriche. L’Autriche demande à la Serbie qui elle regarde. La Russie suggère à l’Autriche de laisser son petit frère tranquille. L’Autriche demande quelle armée aidera la Russie à l’obliger à le faire. L’Allemagne fait appel à la Grande-Bretagne pour lui dire que la France l’a regardé, et que c’est suffisamment hors de propos pour que la Grande-Bretagne n’intervienne pas. La Grande-Bretagne répond que la France peut regarder qui elle veut, que la Grande-Bretagne regarde aussi l’Allemagne, et que va faire l’Allemagne à ce sujet ?
L’Allemagne dit à la Russie de cesser de regarder l’Autriche, ou l’Allemagne rendra la Russie incapable d’une telle action. La Grande-Bretagne et la France demandent à l’Allemagne si elle regarde la Belgique. La Turquie et l’Allemagne vont dans un coin et chuchotent.
Quand ils reviennent, la Turquie fait mine de ne regarder personne. L’Allemagne retrousse ses manches, regarde la France, et frappe la Belgique. La France et la Grande-Bretagne frappent l’Allemagne. L’Autriche frappe la Russie. L’Allemagne frappe la Grande-Bretagne et la France d’une main et la Russie de l’autre. La Russie donne un coup de poing à l’Allemagne, mais le rate et manque de tomber. Le Japon annonce de l’autre côté de la salle qu’il est du côté de la Grande-Bretagne, mais reste sur place. L’Italie surprend tout le monde en donnant un coup de poing à l’Autriche.
L’Autriche L’Australie donne un coup de poing à la Turquie, et reçoit un coup de poing en retour. Il n’y a pas de rancune parce que la Grande-Bretagne a obligé l’Autriche Australie à le faire. La France est projetée à travers une vitre, mais se relève et continue à se battre. La Russie est projetée à travers une autre vitre, est assommée, souffre de lésions cérébrales et se réveille avec un changement complet de personnalité. L’Italie donne un coup de poing à l’Autriche et le rate, mais l’Autriche tombe quand même.
L’Italie lève les deux poings en l’air et court dans la salle en scandant des chants. L’Amérique attend que l’Allemagne soit sur le point de tomber à cause des coups de poing soutenus de la Grande-Bretagne et de la France, puis s’approche et la frappe avec un tabouret de bar, puis prétend avoir gagné le combat toute seule. À ce moment-là, toutes les chaises sont cassées et le grand miroir au-dessus du bar est brisé. La Grande-Bretagne, la France et l’Amérique s’accordent à dire que c’est l’Allemagne qui a donné le premier coup de poing, et que tout est donc de sa faute. Alors que l’Allemagne est encore inconsciente, ils fouillent ses poches, volent son portefeuille et achètent des boissons pour tous leurs amis.
Quelqu’un a-t-il vu une version similaire pour la Seconde Guerre mondiale ? Et quelqu’un sait-il qui en est l’auteur ?
Merci au lecteur (Petr Lang) qui a envoyé cette splendide suite
En 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, une réception a eu lieu à Rio de Janeiro et l’ambassadeur de Hongrie faisait partie des invités. L’ambassadeur, portant l’uniforme de cérémonie, est entré dans la salle et a effectué un salut nazi. L’hôte de la réception, un banquier influent, a remarqué l’ambassadeur et s’est approché de lui.
« Votre Excellence, vous avez salué avec Heil Hitler. Je suppose que les gens de votre pays appartiennent à la race nordique ? ».
L’ambassadeur a répondu : « Non, nous sommes d’origine mongole. »
Le banquier était curieux et a poursuivi . « Je vois, donc votre pays doit être situé en Asie ? ».
« Non, la Hongrie fait partie de l’Europe centrale. »
« Je sais qu’il y a une guerre en cours en Europe centrale. La Hongrie y est-elle impliquée ? »
« Oui, en effet. Nous nous battons contre l’Union soviétique »
« Et avez-vous des revendications territoriales contre l’Union soviétique ? ».
« Non, nous n’avons pas de revendications territoriales contre les Soviétiques. Cependant, nous en avons contre la Roumanie et la Slovaquie. »
« Donc, la Roumanie et la Slovaquie doivent être vos ennemis alors ? »
« Non, ce sont nos alliés. »
Le banquier a été légèrement confus par les réponses de l’ambassadeur, mais il a finalement repéré un badge royal sur son uniforme et a continué à demander : « Je suppose que la Hongrie est un royaume. Comment se porte votre roi ? »
« Nous n’avons pas de roi. Nous sommes gouvernés par un Amiral. »
« Un Amiral ? La Hongrie doit avoir un accès à la mer alors. »
« Non, nous sommes un état enclavé. »
Le banquier est devenu encore plus perplexe. « Quoi qu’il en soit, comment va votre amiral ? »
« Il a été capturé par les Allemands. »
« Ce sont aussi vos ennemis ? »
« Non, les Allemands sont nos plus grands alliés et amis. »
Le banquier était complètement perdu. « Merde ! Je ne comprends vraiment pas. Vous vivez dans le royaume enclavé au cœur de l’Europe, qui est dirigé par un amiral, qui a été capturé par ses plus grands amis. Vous combattez un pays dont vous ne voulez pas un seul acre de terre. D’autre part, vous avez des revendications territoriales contre vos alliés. Quelle situation bizarre ! » « Monsieur, c’est un nouvel ordre européen. »|
Laisser un commentaire