8 histoires d’horreur palpitantes que vous pouvez lire en ligne dès maintenant
On septembre 25, 2021 by adminAlors que les jours se mélangent et que nos esprits vagabondent, beaucoup d’entre nous recherchent des lectures captivantes qui peuvent retenir notre attention. Alors que les histoires courtes effrayantes ne crient pas forcément « soulagement du stress », l’horreur réussie nous récompense pour notre attention complète avec des frissons et des frissons de tout le corps.
Voici quelques-unes des histoires effrayantes les plus mémorables que vous pouvez lire en ligne en ce moment :
« Le Clown »
Par Mark Mayer
Court roman américain
L’une des histoires marquantes du recueil de Mayer, Aerialists, « Le Clown » suit un agent immobilier qui rêve éveillé de son personnage intérieur, un clown meurtrier. Pour les coulrophobes (ceux qui ont peur des clowns) qui sont là, cette prémisse vous mettra immédiatement sur les nerfs, et Mayer fait un excellent travail pour construire le suspense en gardant les lecteurs proches de ce narrateur inoubliable et déstabilisant.
« Vendredi noir »
Par Nana Kwame Adjei-Brenyah
Esquire
Voyez si vous pouvez l’imaginer : une horde de personnes accros au matérialisme américain déferle dans les magasins au péril d’eux-mêmes et des autres. Rappelant Dawn of the Dead et les premiers travaux de George Saunders, le titre du premier recueil d’Adjei-Brenyah, Friday Black, combine le stress d’un centre commercial le jour du Black Friday et le fait que tous les clients sont des zombies pour créer une histoire tour à tour surréaliste, humoristique et inquiétante. C’est le consumérisme poussé à ses extrémités les plus gores.
« La performance perdue de la grande prêtresse du temple de l’horreur »
Par Carmen Maria Machado
Granta
Cette histoire récente d’un maître moderne de la fiction de genre-bending suit une jeune femme qui rejoint une troupe de théâtre connue pour ses performances graphiques. Machado avance régulièrement dans un monde de luxure, de dépendance et de voyeurisme, avec pour résultat un climax dont vous ne pourrez pas vous détourner.
« Good Girls »
Par Maryse Meijer
Paper Darts
Pour Maryse Meijer, la peur est cérébrale. Son œuvre se lit comme un grand thriller psychologique, déstabilisant les lecteurs en les entraînant dans l’esprit des personnages les plus peu fiables. Racontée du point de vue d’un animal domestique de la famille, la relation de la narratrice avec les deux filles est tout sauf chaleureuse et floue.
« Born Stillborn »
Par Brian Evenson
Catapulte
Comme ses autres livres, Song for the Unraveling of the World est obsédant, paranoïaque, absolument absorbant, et cette histoire donne parfaitement le ton. Un homme reçoit la visite d’une version sinistre de son thérapeute au milieu de la nuit, ce qui donne lieu à une énigme narrative qui oscille entre réalité et délire. « Born Stillborn » est comme regarder dans un miroir funhouse – vous allez devoir y jeter un second regard.
« The House They Used to Live In »
Par Sam Weller
Arcturus
Les histoires les plus effrayantes sont parfois trompeuses. Partant de souvenirs lumineux et d’un trajet post-Noël, Weller montre comment un changement de perspective peut transformer la nostalgie en horreur. « The House They Used to Live In » paraîtra dans le prochain livre de Hat & Beard Press, Dark Black.
« The Bad Graft »
Par Karen Russell
The New Yorker
« The Bad Graft » est un parfait exemple de la façon dont Karen Russell brouille la ligne entre la comédie noire et l’effroi. Lors du voyage d’un couple, l’âme d’un arbre de Josué « saute » dans le personnage principal. L’horreur corporelle (et spirituelle) s’ensuit. Vous pouvez également trouver cette histoire dans le dernier recueil de Russell, Orange World.
« The Night Cyclist »
By Stephen Graham Jones
Tor.com
Cette novelette a l’un des plus grands loglines d’horreur de tous les temps : le trajet nocturne à vélo d’un chef d’âge moyen pour rentrer chez lui est interrompu par une rencontre inattendue. Jones incite les lecteurs à se pencher sur la question grâce à ses détails saisissants d’un cadre vraiment sinistre, créant ainsi l’atmosphère parfaite pour une peur bleue.
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